nos enfants tués

nos enfants tués

| Notre financeur, c'est l'ASE

NOTRE FINANCEUR, C'EST L'ASE

 

5 Janvier 2012 : Madame D. (chef de service du foyer) reproche à la maman d'avoir dit à ses enfants d'aller voir leur avocate... Crime de lèse majesté?  On comprend donc pourquoi les enfants n'ont pas eu le droit d'appeler leur avocate. On leur refusait. Réponse 5 mois plus tard... Elle gêne l'avocate des enfants dans cette machination.

Le Professeur K a fait un signalement indiquant que l'ASE faisait preuve de maltraitance envers les enfants, et que les enfants étaient malheureux. Pour se défendre, l'Ase et la juge assassin retournent les propos : les enfants vont bien et la mère est maltraitante. Et hop, ils sont de nouveau tranquilles.

La chef de service du foyer a proposé à la maman une réunion entre l'ASE et elle même. A condition que les enfants soient présents, lui a rétorqué la maman. Les enfants ne sont pas au courant de la décision de la juge assassin. Donc il serait bien que l'ASE explique aux enfants que leur maman est maltraitante, qu'eux vont bien et qu'ils ne verront pas plus leur maman....


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Il est plus de 2 h du matin. Difficile de dormir ce soir, et je suis sur la toile à la recherche d'un peu d'espoir Je viens de regarder un site, qui me rappelle mes petits enfants : le même âge... Pas encore placés eux, réponse le 24 janvier prochain...

 

http://www.votrepetition.com/arva/

 

Regardez la vidéo. Merci

 

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Dimanche 8 janvier 18 h. Appel qui ne sera pas comme les autres. Cindy informe ma fille qu'un courrier est arrivé pour les enfants de la part de leur avocate. Elle a eu le côté humain de ne pas leur balancer comme ça et a préféré demander conseil. Ma fille demande à l'éduc de ne pas être seulement sur écoute dans l'autre pièce, mais d'être près d'eux. Début de conversation avec des broutilles d'usage, école, ciné. Mais bien vite, maman demande à ses deux enfants s'ils sont présents, car elle a la mauvaise nouvelle à leur annoncer. La petite intravertie, égale à elle même n'a plus de mots. Il n'ens era pas de meme pour le petit. Il hurle "maman, maman", sanglote, ne trouve plus sa respiration. Maman tente de le consoler. Ca fait huit ans que nous avons toujours de mauvaises nouvelles, tu sais mon chéri, on se relevera. La communication dure, des silences aussi inquiétants que les cris de souffrance. Une éduc propose au petits d'aller dans sa chambre. Il ira mais se laçerera les bras. Il revient au téléphone longtemps après et à la question de maman, que voudrais tu maintenant, il répond : je veux me tuer. Les éducs prises de panique appellent la chef de service. 1 h20 plus tard, une éduc a proposé au petit de partir faire un tour avec elle en voiture, et la chef de service a dit à ma fille que le petit la rappellerait en revenant!!! Alors que les appels sont chronométrés en temps normal. Passons sur l'inquiétude folle de cet appel. Il m'est difficile de retranscrire un tel calvaire. Vers 21 h 30, le petit rappelle sa maman : et au bout du fil demande à son éduc s'il peut "redire à maman ce qu'elle lui a dit". Avec son accord, il lui dira : Cindy a dit que tu étais une bonne maman, rassurrante, avec une place juste et que les choses allaient changer en avril. Le petit était un peu calmé.

 

 

Suite page "Les éduc ont tout compris"

 

 

 



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